Mettre fin à l’immigration incontrôlée

Valérie Pécresse a été l’une des premières à mettre en évidence le lien qui existait entre immigration et délinquance. Elle propose de tourner la page de 10 ans de laxisme migratoire avec un objectif clair : ne plus subir pour reprendre notre destin en main. Elle proposera aux Français un grand projet de loi constitutionnelle qui sera votée dès son arrivée au pouvoir.
Ce qu'il faut retenir 👉
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Ce qu'il faut retenir

Valérie Pécresse a été l’une des premières à mettre en évidence le lien qui existait entre immigration et délinquance. Elle propose de tourner la page de 10 ans de laxisme migratoire avec un objectif clair : ne plus subir pour reprendre notre destin en main.

Elle proposera aux Français un grand projet de loi constitutionnelle qui sera votée dès son arrivée au pouvoir.

© Aymeric Guillonneau

Mettre fin à l’immigration incontrôlée

Une immigration record depuis 50 ans !

– Le gouvernement d’Emmanuel Macron a été impuissant à protéger nos frontières : le nombre d’autorisations de séjour a atteint un record historique depuis 40 ans avec 277 000 titres de séjours distribués, record quasi égalé en 2021 avec 272 000 titres. Au total, ce sont près de 1 300 000 titres de séjours délivrés de 2017 à 2021, soit 36% de plus que sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy !

– L’immigration illégale a explosé : le budget de l’Aide médicale d’Etat a bondi de 23% et dépasse désormais le milliard d’euros.

– Emmanuel Macron a été incapable de faire appliquer nos lois : depuis 2019, les éloignements forcés ont été divisés par 2 ! Sous Nicolas Sarkozy, le taux d’exécution des mesures d’obligation de quitter le territoire français (OQTF) était deux fois supérieur à celui d’aujourd’hui !

– Les naturalisations se sont envolées : en 2021, il y a plus de 94 000 naturalisations soit une augmentation de 25% par rapport à 2019.

— PROPOSITIONS

Reprendre le contrôle de nos frontières

  • Faire voter chaque année par le Parlement des quotas maximum de titres de séjours par pays et par métier pour sélectionner les personnes étrangères que l’on accueille et diviser par deux l’immigration et par trois le regroupement familial. Lorsque le plafond sera atteint, plus aucun visa ni titre de séjour ne seront délivrés.
  • Remettre en cause les accords migratoires avec les pays d’origine dans les six premiers mois du mandat : si ces pays ne reprennent pas les immigrés illégaux, les ressortissants de ces pays n’auront plus de visas pour venir en France.
  • Mettre fin au regroupement familial automatique.
  • Obliger à ce que les demandes d’asile soient déposées à l’étranger ou à la frontière. Dans ce cas, les demandeurs seront placés dans des centrés dédiés fermés et renvoyés si leur demande n’est pas acceptée.
  • Arrêter les régularisations des étrangers entrés irrégulièrement en France.
  • Systématiser le contrôle de toute personne entrant sur le territoire européen via le système d’information de Schengen.

Fin de toutes les primes à l’illégalité

  • Réserver les allocations familiales et les allocations logement aux Français et aux personnes étrangères extracommunautaires justifiant de cinq ans de séjour régulier en France.
  • Restreindre l’Aide médicale d’Etat aux soins urgents et aux maladies contagieuses.
  • N’accorder aucun avantage social, comme les 50% de réduction dans les transports, autre que les aides d’urgence humanitaires, à une personne étrangère en situation irrégulière.

Des expulsions effectives

  • Reprendre l’expulsion des clandestins par charter avec Frontex : au premier semestre 2021, l’Allemagne y a eu quatre fois plus recours que la France.
  • Rétablir les tests osseux pour les mineurs étrangers sans papiers et ils seront présumés majeurs s’ils refusent. Aujourd’hui, en cas de refus, ils sont présumés mineurs et donc inexpulsables ! 
  • Renégocier la directive retour pour que les obligations de quitter le territoire français (OQTF) soient rendues exécutoires sans délai alors qu’aujourd’hui les clandestins ont plusieurs semaines pour quitter librement l’espace Schengen.
  • Expulser les personnes condamnées de nationalité étrangère une fois leur peine effectuée.
  • Négocier des accords pour que les délinquants étrangers puissent purger leur peine dans leur propre pays.
  • Expulser les étrangers représentant une menace grave pour l’ordre public comme les islamistes radicaux.

Exiger l’assimilation

  • Conditionner l’obtention de la carte de séjour à la réussite d’un examen sur la maîtrise du français et les valeurs de la République. 600 heures de cours pourront être dispensées.
  • Augmenter les minima de ressources pour obtenir un visa de regroupement familial.
  • Mettre un terme à l’automaticité du droit du sol. Tous les enfants qui sont nés en France de parents étrangers devront faire un vrai choix à 18 ans et satisfaire à des conditions d’assimilation : des preuves de maîtrise de la langue, une adhésion sincère aux valeurs de République et surtout un casier judiciaire vierge.
  • Dédier une journée aux héros français dans toutes les écoles pour y célébrer ceux qui ont fait notre pays.
  • Améliorer l’intégration des plus jeunes grâce à l’école en fixant un plafond de non-francophones par classe.

Défendre les valeurs de la République pour faciliter l’intégration

  • Inscrire dans la Constitution que « nul ne peut se prévaloir de ses croyances ou de sa religion pour échapper à la loi commune ».
  • Lutter contre le communautarisme grâce au plan anti-ghetto qui limite à 30% la part de logements très sociaux dans une commune. 
  • Interdire le port du voile forcé, en sanctionnant d’une amende les parents voilant les jeunes filles de moins de 15 ans, y compris en dehors de l’école. Interdire également le port du voile dans les compétitions sportives et pour les accompagnatrices scolaires,en déployant des assistants du service scolaire afin de ne pas priver les enfants de sortie.
  • Interdire le port du burkini comme je l’ai fait dans les Îles-de-loisirs de la Région Île-de-France.
  • Faire de la radicalisation une cause réelle et sérieuse de licenciement dans les entreprises et les administrations.
  • Accélérer la signalisation des faits de radicalisation par les enseignants grâce à une structure dédiée, gérée par les ministères de la Justice et de l’Intérieur. 
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